Soignez votre début. La première phrase, la première page, le premier chapitre sont censés captiver le lecteur au point que celui-ci ne pourra plus lâcher le livre avant de connaître la fin de l’histoire.

 

·         C’était un matin chagriné, une nébuleuse de doutes encombrait le cerveau de Paul Mathias lorsqu’il rejoignit les premiers secours regroupés autour d’un corps sans vie.

• L’eau noire du canal me dégoûte toujours lorsqu’elle clapote à l’ancienne, au-dessus d’un fond tapissé des poubelles de la ville.

• Le cheveu était fin, le corps élégamment dessiné, le vêtement harmonieux et de bonne coupe ; le trou à la tempe gauche permettait une buissonnière à perpète, la collégienne vautrée sur le trottoir du boulevard Exelmans ne respirait plus.

• La rame s’était immobilisée juste avant la station Montparnasse- Bienvenüe et Claude Nizard pensa qu’un peu plus loin sur la ligne un pauvre type avait choisi le métropolitain pour tirer sa révérence…

 

L’incipit ouvre l’histoire, donne le ton. A vous :  en une phrase, longue ou

plus courte, on plante un décor, on ébauche la silhouette d’un personnage.

Vous pouvez utiliser vos précédents personnages ou inventer une autre histoire