A l’image de Sumana Roy, dans son livre « Comment je suis devenue un arbre » :

« Je dois le redire : parmi tous mes désirs de devenir un arbre, le plus impérieux était celui d’échapper au bruit. Deux choses le motivaient – l’une, le vacarme des humains, la seconde, le vocabulaire du silence de la vie active des arbres. Cette opposition était terrible – le ton plaintif qui accompagnait la vie laborieuse des hommes contrastait avec l’ardeur au travail quasi dénuée de bruit des arbres. Je voulais passer de l’autre côté. »

 

Et vous, qu’aimeriez- vous devenir le temps d’un moment d’écriture ? Quel est cet être,  cet élément, quelle est cette chose qui pourrait vous décharger de vos peines, petites ou grandes ?

Je vous propose de partager vos divagations dans un texte qui commencerait par : « je suis devenu(e)…. » dans lequel vous justifiez ce choix, et en quoi il est pour vous salutaire.